PRÉSENTATION

Avec JF, on a commencé à travailler sur la modélisation. Il nous a montré les bases pour pouvoir modéliser un objet sur OpenSCAD et ensuite l’imprimer en 3D. OpenSCAD est un logiciel libre qui a la possibilité de créer des objets en 2D mais aussi en 3D. Mais ce que nous allions voir concernait plutôt l’impression en 3D.

MES DÉBUTS DANS LA MODÉLISATION

Pour pouvoir nous entraîner, JF reproduisait des modèles en 3D qu’on devait par la suite reproduire nous-même. Les principales formes utilisées sont le cylindre, le cube et la sphère. Ces formes peuvent être transformées, on peut les pivoter et y faire des trous aussi. Pour commencer à modéliser mon porte téléphone il fallait d’abord que je le crée moi-même. C’est une étape qui m’a déstabilisé car je n’ai pas de créativité. Mais après quelques brouillons, j’ai pu débuter ma modélisation en 3D. C’est un travail très minutieux car chaque millimètres comptent. Malheureusement, j’ai fait l’erreur de ne pas prendre les mesures dont j’ai besoin pour mon téléphone. Par conséquent, mon porte téléphone est ressorti très petit contrairement à ce que j’espérais.

Suite à ma déception, j’ai du prendre les mesures de mon téléphone pour qu’elles correspondent à celles du modèle.

Pour mon porte téléphone, il y en a pour 11 lignes de codes.

Les quatre premières lignes décrivent, un cylindre de rayon 10 mm et de hauteur 140mm, avec un trou de rayon 5 mm. Par exemple, 275mm, vaut 27,5 cm.

L'ABOUTISSEMENT

 Lorsque l’on a fini le modèle, il faut transformer le fichier en format .stl et l’exporter sur Ultimaker Cura. C’est un logiciel de découpe pour impression 3D. Dessus, on peut y modifier la taille de l’objet, indiquer le pourcentage de remplissage, y ajouter un support. On a accès à plusieurs donnés tels que la température de l’impression, la durée de l’impression etc.. Placé sur Ultimaker Cura, le fichier doit être généré en g-code. Ce g-code est ensuite renvoyé à l’imprimante correspondante à l’impression.

J’ai effectué une seconde impression avec les bonnes mesures. L’impression a duré environ 13h et à vu d’oeil, je savais qu’il était réussi. Le lendemain, en arrivant, je me suis directement dirigée vers l’imprimante pour voir ce que ça avait donné. J’étais ravie et plutôt satisfaite du résultat final.

L'IMPRESSION, VUE D'UN AUTRE OEIL

L’impression 3D est aussi utilisée dans la santé mais notamment dans la gastronomie. Des domaines totalement divergents. En effet, Dinara Kasko, voulait relier ses études d’architecture et sa passion pour la cuisine. Alors elle se sert de son imprimante 3D pour pouvoir imprimer des moules à gâteaux fait en silicone alimentaire et ce qui donne ensuite la forme de son gâteau

Au début, la modélisation me paraissait compliquée, mais j’ai compris que ce n’était que de  l’entraînement et qu’il fallait aussi avoir une certaine logique. Je ne suis pas fan de cette activité car j’avais beaucoup de difficultés dans ce domaine. J’ai l’impression que ce n’est pas fait pour moi. Mais, j’ai quand même appris à être patiente, minutieuse et très persévérante.

À l’heure d’aujourd’hui, j’utilise encore mon porte téléphone. Notamment lorsque je regarde une série ou bien un animé sur mon téléphone et que je n’ai pas d’endroits où le poser.