L’activité avec Agy était de confectionner un trombinoscope sur lequel il y aurait nos photos et des informations en plus sur chacun de nous. Elle nous a montré des exemples du travail des promos précédentes pour qu’on puissent s’en inspirer. C’était intéressant de voir les différents exemples. Pour commencer, on a divisé le travail en plusieurs tâches et donc chacun de nous étions chargés d’effectuer une tâche précise.

Certains s’occupaient de la photographie, d’autres de la mise en page, du graphisme et pour finir de l’article qui sera posté sur le site internet de la Fabrique. Quant à moi, mon rôle était d’interviewer les personnes et leur poser des questions. Je devais ensuite retranscrire toutes les informations sur l’ordinateur. Les questions tournaient surtout autour de leur parcours scolaire et de leur projet d’avenir. Je les faisais passer un par un dans le bureau et je notais toutes les informations récoltées dans mon petit carnet. Avant de commencer, je leur précisais que s’ils y avaient des informations qu’ils ne voulaient pas que je divulgue, ils pouvaient bien entendu me le dire. J’ai d’abord débuté mon interview en interrogeant mes camarades puis j’ai terminé par les formateurs. Je trouvais cela beaucoup plus intéressant de faire dans cet ordre là. J’essayais de les mettre à l’aise pour pouvoir briser la glace qu’il y avait entre nous. J’ai pu en apprendre un peu plus sur mes camarades et j’ai compris qu’on avait à peu près tous le même objectif : acquérir des compétences supplémentaires dans le numérique. Plusieurs d’entre eux étaient déjà intéressés par l’informatique ou la conception de jeux vidéos. Donc, j’en ai conclu que la Fabrique Numérique était la première marche vers de ce qu’ils veulent faire plus tard.

Je pense que la plus grosse difficulté de mon travail a été de noter le maximum d’informations possibles et ensuite de les trier. Qu’est-ce que je garde ? Qu’est-ce que je ne garde pas ? Cette information est-elle vraiment utile ?
Mais sinon j’ai vraiment apprécié cette activité. Premièrement, parce que j’ai pas de problème avec la rédaction, au contraire je m’en sors plutôt bien. Deuxièmement, j’étais assez à l’aise dans ce rôle de « journaliste ». Et enfin, j’ai pu en apprendre un peu plus sur mes camarades, leur parcours et leur projet d’avenir.