QUAND TOUT A COMMENCÉ...

Après avoir obtenu mon bac économique et sociale, en septembre 2019, j’ai commencé ma première année en licence Administration économique et sociale à Villetaneuse. C’était mon plan B de base. Mon plan A, c’était de faire de la communication et malheureusement pour moi, j’ai eu des refus en communication et une acceptation en AES. J’étais quand même déçue mais je me suis rassurée en me disant que ça allait le faire et que cela serait pas trop compliqué car c’était la continuité de mon bac. Dès les premières semaines, je savais que la filière n’était pas faîte pour moi, malgré qu’elle soit large et pluridisciplinaire. Mais étant très têtue et persévérante, je me suis convaincue que je devais au moins finir l’année et essayer de la valider malgré tout. Même si j’apprenais des choses, je me sentais pas stimulée. J’allais en cours pour y aller.

MAIS ENSUITE...

En Mars 2020, il y a eu le confinement qui m’a rendu totalement inactive et je l’ai mal vécu. Premièrement, j’étais persuadée que je n’allais pas validé l’année et deuxièmement, je ne savais pas ce que j’allais faire l’année prochaine. Me réorienter, travailler ou faire une année sabbatique ? Mais après mûre réflexion, j’ai finalement décidé de me réinscrire sur Parcoursup et à côté je cherchais d’autres alternatives, ne serait-ce qu’un job ou une formation, histoire de faire quelque chose et d’être de nouveau active.

Cette année, je n’étais pas prioritaire sur Parcoursup, c’est pourquoi malgré que je me sois réinscrite dessus, je postulais quand même dans des écoles/ formations hors Parcoursup, pour maximiser mes chances de trouver quelque chose.

ET FINALEMENT...!

Fin mai (voire début juin), j’ai reçu un mail de la mission locale, concernant une formation numérique. Clairement, je n’ai pas cherché à savoir plus, je me suis inscrite directement à la Fabrique Numérique de Gonesse. Pourquoi ? Honnêtement, je ne pense pas être une passionnée du numérique. Donc, je dirai que mes réelles motivations étaient tournées autour du fait que je voulais découvrir des choses et redevenir active. Sans compter le fait que c’était à côté de chez moi et que j’allais être rémunéré, c’était encore plus bénéfique pour moi.

LES DIFFÉRENTES ACTIVITÉS 

  • Impression 3D

A la Fabrique, on fait pas mal de choses différentes.

On fait énormément d’impression 3D. On utilise le logiciel Openscad, qui permet de modéliser un objet en 3D et de l’imprimer ensuite. Mais, bien avant, on avait commencé par faire du développement avec un peu de code.

Cela arrive que des organismes nous contactent pour des commandes. Par exemple, Cécile, un membre de l’association AOMGEF, s’est tournée vers nous pour qu’on puisse faire des impressions en 3D de chacunes des lettres. On avait des contraintes à respecter, telles que les couleurs, les mesures, etc.. Autre exemple, on nous a contacté pour reproduire des éventails, en cas de période de canicule. On a du utilisé de la modélisation 2D pour reproduire exactement la forme de l’éventail.

Avec JF, on a utilisé Arduino qui est une carte contrôleur sur laquelle on faisait des programmation, tout en utilisant le logiciel Fritzing.

  • Photos / Vidéos

Agy nous a initié dans la photographie. On devait prendre en photos des choses (avec des thèmes imposés + un thème libre), ensuite expliquer nos photos et repérer s’il y avait la règle des 3.

Avec Jeeb, on a fait initiation à Adobe qui un programme informatique qui possède d’autres logiciels. Par exemple, pour utiliser Photoshop, on devait sélectionner plusieurs photos à notre goût, pour ensuite essayer de faire des montages dessus. On a pris des vidéos en mouvement pour ensuite rajouter des effets grâce Adobe Premiere Pro (ralenti etc..) et sur Adobe After Effects (texte etc..).

MES PROJETS POUR PLUS TARD

  • Professionnel

Plus tard, j’aimerais travailler dans la communication et pourquoi pas devenir chargée de communication ou community manager. C’est pourquoi, la Fabrique Numérique me permettra d’avoir des compétences en plus sur le CV, mais en plus de cela d’avoir une base pour pouvoir exercer mon futur métier pour plus tard. Apprendre à rédiger, à utiliser les réseaux sociaux, à modéliser un objet etc.. sont des connaissances en plus à prendre et je suis totalement preneuse. Et puis avec la Fabrique j’ai compris qu’en réalité, le numérique avait une grosse place dans notre vie et que c’était devenu un outil indispensable.

En septembre 2020, je commence un BTS communication. A la fin de mon diplôme, je pense travailler directement .

  • Personnel

Mon expérience avec la danse est très particulière. C’est grâce à elle que je suis devenue beaucoup moins timide, que j’arrive à prendre la parole. Elle m’a appris à m’affirmer comme j’étais et à être persévérante dans tout ce que j’entreprenais.

C’est pourquoi, j’ai eu l’idée, plus tard, d’ouvrir une école de danse. Tout le monde pourraient y s’inscrire, petits comme grands, enfants comme parents, maigre comme gros. La danse, ce n’est pas simplement une passion, mais c’est avant tout du plaisir et du partage. J’aimerais vraiment pouvoir transmettre ma passion pour la danse et tout ce que j’y ai appris. Car, comme on me l’a souvent répété, la danse n’a pas de frontière.

Alors, j’espère pouvoir réaliser ce projet.

MES HOBBIES

En réalité, mes intérêts ne sont pas trop dans le domaine du numérique. Mis à part, que j’aime bien tout ce qui englobe la gestion des réseaux sociaux. Mais sinon, en général, j’aime la danse, plus spécialement le hip-hop. Je danse depuis que j’ai 11 ans. J’ai fais plusieurs spectacles, j’ai dansé à des flashmobs, pour une association caritative, fais les premières parties de plusieurs artistes etc.. Aujourd’hui, je peux dire que je suis une habituée de la scène. Mise à part la danse, je dessine aussi mais mes dessins sont plus tournés vers le graffitis.